Le mot de passe permettant d'accéder à une base de données très sensible du ministère de la Santé était stocké dans le code source d'un site du gouvernement!
Une équipe de chercheurs universitaires a tenté de déterminer quel pourcentage d'utilisateurs du réseau anonyme Tor l'utilisent pour visiter des sites «illégaux» ou du moins «cachés». Selon eux, seuls 7% visitent des sites Web illicites (ceux en .onion), tandis que les autres n'utilisent Tor que comme protection sur le Web traditionnel.
La Direction des Systèmes d'Information (DSI) des grandes entreprises et administrations françaises, membres du Cigref, s'inquiète de «l'industrialisation de la cybercriminalité» et de la faible réponse des États.